Wednesday 24 October 2012

JUDEO PROTESTANT FREEMASONIC UNIVERSAL REPUBLIC

 JUDEO PROTESTANT FREEMASONIC UNIVERSAL REPUBLIC

DISCOURS
Chevalier Michel de RAMSAY


Ce discours présente un intérêt particulier car il eut d'immenses répercussions dans
le monde maçonnique. S'éloignant résolument de la voie opérative, il contribua à
l'éclosion du phénomène des hauts grades qui devaient surgir de toutes parts et se
trouver inévitablement liés à l'avènement ultérieur de la Maçonnerie templière et de
l'écossisme
, d'autant plus volontiers que le Chevalier André-Michel de Ramsay fut le
précepteur des enfants de Jacques III Stuart.


Ce discours ne fut jamais lu car le cardinal Fleury, ministre de Louis XV et hostile
aux Maçons, s'y opposa. Imprimé, il circula "sous le manteau".


Lecture initialement prévue pour le 21 mars 1737.
 

En voici la teneur:

" La noble ardeur que vous montrez, Messieurs, pour entrer dans le très noble et
très illustre Ordre des francs-maçons, est une preuve certaine que vous possédez
déjà toutes les qualités nécessaire pour en devenir les membres, c'est à dire
l'Humanité, la Morale pure, le Secret inviolable et le goût des beaux-arts. Lycurgue,
Solon, Numa et tous les législateurs politiques n'ont pu rendre leur établissement
durable, quelque sage qu'étaient leurs Lois; elles n'ont pu s'étendre dans tous les
pays et dans tous les siècles. Comme elles n'avaient en vue que les victoires et les
conquêtes, la violence militaire et l'élévation d'un peuple au-dessus d'un autre, elles
n'ont pu devenir universelles, ni convenir au goût, au génie et aux intérêt de toutes
les nations. La philanthropie n'était pas leur base. L'amour de la Patrie, mal entendu
et poussé à l'excès, détruisait souvent, dans ces républiques guerrières, l'amour et
l'humanité en général.


Les hommes ne sont distincts essentiellement que par la différence des langues
qu'ils parlent, des habits qu'ils portent, des pays qu'ils occupent. Le monde entier
n'est qu'une République dont chaque nation est une famille, chaque particulier un
enfant. C'est pour faire revivre et répandre ces essentielles maximes, prises dans la
nature de l'homme, que notre Société fut d'abord établie.


Nous voulons réunir tous les Hommes d'un esprit éclairé, de moeurs douces et d'une
humeur agréable, non seulement par l'amour des Beaux Arts, mais encore plus par
les grands principes de Vertu, de Science et de Religion, où l'intérêt de la
Confraternité devient celui du genre humain tout entier, où toutes les Nations
peuvent puiser des connaissances solides et où les sujets de tous les royaumes
peuvent apprendre à se chérir mutuellement, sans renoncer à leur Patrie.


Nos ancêtres les Croisés, rassemblés de toutes les parties de la Chrétienté dans la
Terre Sainte, voulurent réunir ainsi dans une seule Confraternité les particuliers de
toutes les Nations. Quelle obligation n'a-t-on pas à ces Hommes Supérieurs qui,
sans intérêt grossier, sans même écouter l'envie naturelle de dominer, ont imaginé
un Etablissement dont l'unique but est la réunion des esprits et des coeurs pour les
rendre meilleurs et former dans la suite des temps une Nation toute spirituelle, où sans déroger aux divers devoirs que la différence des Etats exige, on créera un
Peuple nouveau qui, étant composé de plusieurs Nations, les cimentera toutes en
quelque sorte par le lien de la Vertu et de la Science.


La Sainte Morale est la seconde disposition requise dans notre Société. Les Ordres
religieux furent établis pour rendre les hommes Chrétiens parfaits, les Ordres
Militaires pour inspirer l'amour de la vraie gloire, et l'Ordre des Francs-maçons pour
former des Hommes aimables, de bons citoyens, de bons sujets inviolables dans
leurs promesses, fidèles adorateurs du Dieu de l'Amitié, plus amateurs de Vertus
que de récompenses.


Polliciti servare fidem, santumque verer,
Numen amicitiae, mores, non numera amare.


Ce n'est pas, cependant, que nous nous bornions aux vertus purement civiles. Nous
avons parmi nous trois espèces de Confrères3 : des Novices4 ou des Apprentis, des
Compagnons ou des Profès, des Maîtres ou des Parfaits5. On explique aux premiers
les vertus morales, aux seconds les vertus héroïques, aux derniers les vertus
chrétiennes. De sorte que notre Institution renferme toute la philosophie des
sentiments et toute la théologie du coeur.


C'est pourquoi un de nos vénérables Confrères dit :


Free-Masons, illustre Grand Maître
Recevez nos premiers transports
Dans mon coeur l'Ordre les fait naître
Heureux si de nobles efforts
Me font mériter votre estime
Et m'élèvent au vray sublime
A la première vérité
A l'essence pure et divine
De l'âme céleste origine
Source de vie et clarté


Comme une philosophie triste, sauvage et misanthrope dégoûte les hommes de la
vertu, nos ancêtres les Croisés voulurent la rendre agréable; d'une joie pure et d'une
gaieté raisonnable


Nos festins ne sont pas ce que le monde profane et l'ignorant vulgaire s'imaginent.
Tous les vices du coeur et de l'esprit en sont bannis et l'on a proscrit l'irréligion et le
libertinage, l'incrédulité et la débauche. Nos repas ressemblent à ces vertueux
soupers d'Horace où l'on s'entretenait de tout ce qui pouvait éclairer l'esprit, régler le
coeur et inspirer le goût du vrai, du bon et du beau.


Nous avons des secrets, ce sont des signes figuratifs et des paroles sacrées qui
composent un langage tantôt muet, tantôt très éloquent pour le communiquer à la
plus grande distance et pour reconnaître nos Confrères de quelque langue qu'ils
soient. C'étaient des mots de guerre que les Croisés se donnaient les uns aux autres
pour se garantir des surprises des Sarrasins qui se glissaient parmi eux pour les
égorger. Ces signes et ces paroles rappellent le souvenir ou de quelque partie de
notre science, ou de quelque vertu morale, ou de quelque mystère de la Foy. Il est
arrivé chez nous ce qui n'est guère arrivé dans aucune autre Société. Nos Loges ont été établies et sont répandues dans toutes les Nations policées et cependant parmi
une si nombreuse multitude d'hommes, jamais aucun Confrère n'a trahi nos secrets.
Les esprits les plus légers, les plus indiscrets, les moins instruits à se taire,
apprennent cette grande Science en entrant dans notre Société, tant l'idée de
l'Union Fraternelle a d'empire sur les esprits.


Ce secret inviolable contribue puissamment à lier les sujets de toutes les Nations et
à rendre la communication des bienfaits facile et mutuelle entre nous.
Nous en avons plusieurs exemples dans les annales de notre ordre. Nos Frères qui
voyageaient en divers pays n'ont eu qu'à se faire connaître à nos Loges pour y être
comblés à l'instant de toutes sortes de secours, dans le même temps que dans les
guerres les plus sanglantes d'autres prisonniers ont trouvé des Frères où ils ne
croyaient trouver que des ennemis.


Si quelqu'un manquait aux promesses solennelles qui nous lient vous savez
Messieurs que les peines que nous lui imposons sont les remords de sa conscience,
la honte de sa perfidie et l'exclusion de notre Société.


Oui Messieurs, les fameuses fêtes de Cérès à Eleusis, d'Isis en Egypte, de Minerve à Athènes, d'Uranie chez les Phéniciens et de Diane en Scythie, avaient des rapports avec les nôtres. On y célébrait des mystères où se trouvaient plusieurs vestiges de l'ancienne Religion de Noé et des Patriarches. Elles finissaient par des repas et des libations et on y connaissait ni l'intempérance, ni les excès ou les Païens tombèrent peu à peu. La source de ces infamies fut l'admission de
personnes de l'un et l'autre sexe aux assemblées nocturnes, contre l'institution
primitive. C'est pour prévenir de tels abus que les femmes sont exclues de notre
Ordre. Nous ne sommes pas assez injustes pour regarder le sexe comme incapable
du secret, mais sa présence pourrait altérer insensiblement la pureté de nos
maximes et de nos moeurs.


La dernière qualité requise dans notre Ordre est le goût de la Science et des Arts
Libéraux. Ainsi l'Ordre exige de vous de contribuer par sa protection, par sa libéralité
ou par son travail à un vaste ouvrage auquel nulle Académie ne peut suffire, parce
que toutes ces Sociétés étant composées d'un très petit nombre d'hommes, leur
travail ne peut embrasser un objet aussi étendu.


Tous les Grands Maîtres, en Allemagne, en Angleterre, en Italie et ailleurs exhortent
les Savants et tous les artisans de la Confraternité de s'unir pour fournir les
matériaux d'un Dictionnaire Universel des Arts Libéraux et des Sciences utiles, la
théologie et la politique seules exceptées
. On a déjà commencé l'ouvrage à Londres
et par la réunion de nos Confrères, on pourra le porter à sa perfection dans peu
d'années. On y explique non seulement les mots techniques et leur étymologie, mais
on y donne encore l'histoire de chaque science et de chaque art, leurs principes et la
manière d'y travailler, par là on réunira les Lumières de toutes les Nations dans un
seul ouvrage qui sera comme une Bibliothèque Universelle de tout ce qu'il y a de
grand, de lumineux, de solide et d'utile dans tous les arts nobles. Cet ouvrage
augmentera dans chaque siècle, selon l'augmentation des Lumières et il répandra
partout l'émulation et le goût des belles choses et des choses utiles.
Le nom de "Franc-maçon" ne doit donc pas être pris dans un sens littéral et grossier
et matériel, comme si nos instituteurs avaient été de simples ouvriers en pierre ou des génies purement curieux qui voulaient perfectionner les arts. Ils étaient d'habiles
architectes qui voulaient consacrer leurs talents et leurs biens à la construction des
temples extérieurs, mais aussi édifier et protéger les temples vivants du Très-Haut;
c'est ce que je vais monter en vous développant l'histoire ou plutôt le renouvellement
de l'Ordre.


Chaque famille, chaque république, chaque empire, dont l'origine est perdue dans
une antiquité obscure a sa fable, sa vérité et son histoire. Quelques-uns font
remonter notre Institution jusqu'au temps de Salomon, ou jusqu'à Moyse, d'autres
jusqu'à Abraham, quelques-uns jusqu'à Noë et même jusqu'à Enoch qui bâtit la
première ville, ou jusqu'à Adam.
Sans prétendre nier ces origines, je passe à des
choses moins anciennes. Voici donc ce que j'ai recueilli dans les antiques Annales
de la Grande Bretagne, dans les Actes du Parlement Britannique, qui parlent
souvent de nos privilèges, et dans la Tradition vivante de la Nation anglaise qui a été
le Centre de notre Confraternité depuis le XIème siècle.


Du temps des Croisades dans la Palestine, plusieurs princes, seigneurs et citoyens
s'associèrent et firent voeu de rétablir le Temple des Chrétiens dans la Terre Sainte,
aussi de s'employer à ramener leur architecture à sa première Institution. Ils
convinrent de plusieurs "Signes anciens" et de "mots symboliques", tirés du fond de
la Religion, pour se reconnaître entre eux d'avec les infidèles et les Sarrasins. On ne
communiquait ces signes et paroles qu'à ceux qui promettaient solennellement et,
souvent même, au pied des autels, de ne jamais les révéler. Cette promesse sacrée
n'était donc pas un serment exécrable comme on le débite, mais un lien respectable
pour unir les Chrétiens de toutes les Nations dans une même Confraternité.
Quelques temps après, notre Ordre s'unit intimement avec les Chevaliers de Saint
Jean de Jérusalem
. Dés lors, nos Loges portèrent le nom de Loges de Saint Jean6 .
Cette union se fit à l'exemple des Israélites lorsqu'ils élevèrent le second Temple.
Pendant qu'ils maniaient la truelle et le compas d'une main, ils tenaient dans l'autre
l'épée et le bouclier.7


Notre Ordre, par conséquent, ne doit pas être considéré comme un renouvellement
des Bacchanales, mais comme un Ordre moral, fondé de toute antiquité et
renouvelé en Terre Sainte par nos Ancêtres, pour rappeler le souvenir des vérités
les plus sublimes au milieu des plaisirs de la société.


Les Rois, les Princes et les Seigneurs, au retour de la Palestine, fondèrent diverses
Loges dans leurs Etats.
Du temps des dernières Croisades, on voyait déjà plusieurs
Loges érigées en Allemagne, en Italie, en Espagne et en France puis, de là en
Ecosse, à cause de l'étroite alliance des Ecossais avec les Français. Jacques Lord
Steward d'Ecosse était Grand Maître d'une Loge établie à Kilwin8, dans l'ouest
d'Ecosse, en l'an MCCLXXVI , peu après la mort d'Alexandre III, roi d'Ecosse, et un
an avant que John Bailleul montât sur le Trône. Ce Seigneur reçut les Francsmaçons
dans sa Loge, les Comtes de Gloucester et d'Ulster, l'un anglais et l'autre
irlandais.


Peu après nos Loges et nos Solennités furent négligées dans la plupart des lieux.
De là vient que parmi tant d'historiens ceux de la Grande-Bretagne sont les seuls qui
parlent de notre Ordre. Il se conservera néanmoins dans sa splendeur parmi les
Ecossais à qui vos Rois confièrent pendant plusieurs siècles la garde de leurs
personnes sacrées. 10


Après les déplorables travers des Croisades, les dépérissements des Armées
Chrétiennes pendant la huitième et dernière Croisade11 , le Grand Prince Edouard,
fils de Henri III, Roi d'Angleterre, voyant qu'il n'y avait plus de sûreté pour ses
Confrères, dans la Terre Sainte, d'où se retiraient les troupes Chrétiennes, les
ramena tous12 et cette colonie de Frères s'établit en Angleterre. Comme ce Prince
avait tout ce qui fait les Héros, il aima les Beaux Arts, se déclara Protecteur de notre
Ordre, lui accorda de nouveaux privilèges et alors les membres de cette
Confraternité13 prirent le nom de Francs-Maçons, à l'exemple de leurs ancêtres.
Depuis ce temps-là, la Grande-Bretagne fut le siège de nôtre Ordre, la conservatrice
de nos Lois et la dépositaire de nos Secrets.14


Les fatales discordes de Religion qui embrasèrent et déchirèrent l'Europe firent
dégénérer l'Ordre de la Noblesse de son origine. On changea, on déguisa, on
supprima plusieurs de nos Rites et Usages, qui étaient contraires aux préjugés du
temps. C'est ainsi que plusieurs de nos Confrères oublièrent, comme les anciens
Juifs, l'esprit de nos Lois, et n'en retinrent que la lettre et l'écorce. On a commencé à
y apporter quelques remèdes. Il ne s'agit que de continuer à ramener enfin tout à sa
première Institution. Cet ouvrage ne peut guère être difficile dans un Etat où la
Religion et le Gouvernement ne sauraient qu'être favorables à nos Lois.


Des Isles Britanniques, l'Art Royal commence à repasser dans la France, sous le
règne du plus aimable des Roys dont l'humanité anime toutes les vertus et sous le
Ministère d'un Mentor15 qui a réalisé tout ce qu'on avait imaginé de fabuleux. Dans
ce temps heureux où l'amour de la Paix est devenu la vertu des héros, la Nation
deviendra le Centre de l'Ordre. Elle répandra sur nos ouvrages, nos statuts, nos
moeurs, les grâces, la délicatesse et le bon goût, qualités essentielles dans un Ordre
dont la base est la Sagesse, la Force et la Beauté.


C'est dans nos Loges, à l'avenir, comme dans les écoles publiques, que les Français
verront, sans voyager, les caractères de toutes les Nations et que les étrangers
apprendront par expérience que la France est la patrie de tous les peuples.16


Patria Gentis Humanae "


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Croyances et société

Judaïsme « révolutionnaire », « République Universelle » et Mondialisme

Le Nouvel Ordre Mondial, et l’idéologie Mondialiste, consistant à unifier le monde sous la bannière d’un super-gouvernement autocratique, trouvent leurs racines dans une interprétation messianique des écrits judaïques. Ce programme fut ensuite repris par la Franc Maçonnerie sous le vocable de « République Universelle » et la France, passée de « fille aînée de l’Eglise » à « fille aînée de la Maçonnerie », fut son principal propagateur.

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infoguerilla.fr
Mercredi 28 Septembre 2011

Judaïsme « révolutionnaire », « République Universelle » et Mondialisme

Il est de bon ton de se prétendre « citoyen du monde » de nos jours. Sans rentrer dans les détails de l’impossibilité pratique d’une telle assertion, elle dénote une certaine naïveté certes, mais c’est surtout le fruit d’un long et patient travail de sape sur les consciences. L’idée de détruire les frontières, les Etats, les religions et tout ce qui préside à l’unification d’un peuple est une vieille rengaine qui sous tend toutes les subversions quelles qu’elles soient, c’est ce qu’on appelle le « Mouvement Révolutionnaire Mondial » qui fait feu de tout bois pour atteindre l’objectif ultime du « Grand Oeuvre » : Un seul peuple universel, un seul gouvernement pour la planète, une seule religion.
 

« Judaïsme révolutionnaire » et Universalisme

Ce vieux rêve, qui de Weishaupt à Rockefeller, est la colonne vertébrale du Projet Mondialiste trouve ses racines dans l’Universalisme juif. C’est en effet ce genre de « rêve » que carresse tout « juif idéaliste » comme le décrit si bien le site communautaire aish.com, dans l’article « Etre Juif, c’est faire partie de la Contre-Culture » :

 » A Roch Hachana, le Juif idéaliste proclame son rêve d’unité à l’échelle universelle. Il prie pour voir venir le jour où le monde tout entier se rassemblera sous une seule et même bannière. C’est révolutionnaire.  » (…)

« Je suis retourné  à ma chambre, là j’ai ouvert un livre de prières de Roch Hachana, dans lequel j’ai lu quelques commentaires. Mon hôte disait vrai. La liturgie parlait effectivement de conscience globale. L’unité y était le thème principal. J’y lus que le but était non seulement d’unifier l’humanité, mais aussi, si tout marchait comme prévu, d’obtenir que la création toute entière fonctionne à l’unisson. Des minéraux en passant par la faune et la flore, jusqu’aux mondes métaphysiques les plus élevés. »

Toutes ces idéologies, en apparence différentes, le communisme/collectivisme, le sionisme, l’internationalisme, le capitalisme, le socialisme, le national-socialisme convergent vers le même but : destruction des frontières, des Etats, des religions et unification. Détruire le « monde ancien » pour créer un « homme nouveau ».

Détruire pour mieux reconstruire, Ordo ab Chao, la célèbre devise maçonnique qui permet de comprendre les grandes crises provoquées de ce monde. Car de ces cendres et de ce chaos sortira le « monde nouveau », le « Nouvel Ordre » qui verra le monde entier gouverné par une seule et unique autorité.
N’étais ce pas Jacques Attali, grand héraut du Nouvel Ordre Mondial » qui prévoyait déjà que « Jérusalem soit la capitale du gouvernement mondial » :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=emY0KwHPXYU
Une idéologie empreinte de messianisme juif, talmudique plus exactement, puisque c’est dans les commentaires des rabbins sur la Torah (qui constituent le Talmud) que l’on trouve les ferments d’une « déification » des rabbins et le peuple juif considéré comme son propre Messie, un peuple « aristocratique » appelé à régner sur le monde après que les nations se soient mutuellement autodétruites comme nous l’enseigne le rabbin Ron Chaya :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Y7DHbydFfWk

Cette conscience diffuse d’appartenir à un « ensemble planétaire commun » au lieu de se distinguer par sa nationalité, sa culture, sa religion constitue le grand élan d’un plan échafaudé depuis la nuit des temps dans les méandres de la dispersion et des persécutions. Les juifs en tant que « peuple errant », « universel » par nature est au dessus des peuples et des frontières et donc naturellement enclin à s’en débarrasser.

Le rôle de la Franc-Maçonnerie

« Effacer parmi les hommes, dit le F : . Clavel, la distinction de rang, de croyance, d’opinion, de patrie ; faire en un mot, de tout le genre humain une seule et même famille : voilà le Grand Oeuvre qu’ a entrepris la Franc Maçonnerie, et auquel l’apprenti, le compagnon et le maître sont appelés à associer leurs efforts. »

« La Franc Maçonnerie s’efforce de préparer les Etats-Unis non seulement d’Europe, mais de la terre entière. » Compte rendu du Convent de 1895, page 209

Ainsi en 1895 la FM avait déjà dans les tiroirs l’Union Européenne, mais le rôle de la France lui aussi était tout tracé. Il devait être le phare des « idées nouvelles » destinées à embraser les esprits de l’Europe entière à travers la Révolution, les « droits de l’Homme », les Lumières…

C’est la nouvelle mission de la France, passer de « fille aînée de l’Eglise » à « fille aînée de la Maçonnerie » :

« La grande mission de la France est de présider à l’oeuvre de l’organisation de la démocratie, en un mot, à l’organisation de la République Universelle », (F : . Dequaire, compte rendu des travaux du Grand Orient du 16 janvier au 28 février 1897, page 10).
Cette « démocratie », en fait Oligarchie, et cette République Universelle qui s’est répandue dans le monde entier au fil des révolutions et des bouleversements et qui maintenant arrive dans le cortège de bombardements de l’OTAN ou de résolutions de l’ONU…
Les racines du Mondialismes sont complexes, mais on ne peut nier l’élément messianique véritable « passager clandestin » qui se cache parmi les belles idées de « république », « droits de l’homme » ou de « démocratie ». Un double sens que l’on ne saisit pas au premier abord, et l’on comprend bien pourquoi.

 
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codex magica
Exclusive Intelligence Examiner Report
Texe Marrs

Jewish Killers Massacre 66 Million in Soviet Gulag


"I love strong opponents! It's such fun to break their backs! said the Leningrad interrogator Shitov. And if your opponent (e.g. your prisoner) is so strong that he refuses to give in, all your methods have failed and you are in a rage? Then, don't control your fury! It's tremendously satisfying, that outburst! Let your anger have its way; don't set any bounds to it. Don't hold yourself back! That's when interrogators spit in the open mouth of the accused! And shove his face into a full toilet! That's the state of mind in which they drag Christian believers around by their hair. Or urinate in a kneeling prisoner's face! After such a storm of fury you feel yourself a real honest-to-God man!"
—Aleksandr Solzhenitsyn
The Gulag Archipelago

It's been all over the press, on TV and in newspapers. Mel Gibson, the famous movie actor and director, has been horribly slandered, defamed, and verbally mauled by the Jewish elite who uniformly hate and despise Gibson's powerful film, The Passion of The Christ. The ADL, the Simon Wiesenthal Center, and other racist anti-Christian hate groups have made Gibson their whipping boy now for over a year.
But, hold on! You think Gibson has been treated unfairly, you haven't seen anything yet. Consider the case of Nobel Prize-winning historian and writer Aleksandr Solzhenitsyn. The Jews have been ripping into, slandering and otherwise savaging the reputation of the solidly Christian Solzhenitsyn for some four years now. But unlike the Gibson affair, the controlled media disingenuously refuse to report it. Solzhenitsyn is the hapless victim whose brutal mental whipping and emotional beating the world knows nothing about.
It now seems aeons ago that the stoic Russian author was celebrated for his insightful, poignant accounts of the horrible, subhuman treatment of the victims of the Soviet Communist Gulag, an interlocking system of thousands of concentration and slave labor camps. Solzhenitsyn himself had been a prisoner of the Gulag for a decade, preventively jailed for nothing more than the fear of the communist overlords that he might someday write something the Kremlin masters might find offensive to the state.

Solzhenitsyn: The "Conscience of the 20th Century"

Historian Solzhenitsyn's gut-wrenching book, Gulag Archipelago, went through countless printings—in over 50 languages—and touched the hearts of westerners. Expelled by the Kremlin for telling the awful truth, this great man was honored by freedom-loving people both in the United States and in Europe. He was often called the "Conscience of the 20th Century" and recognized universally as one of the globe's prime examples of bold courage and moral conviction. Even the liberal press initially had nice things to say about Solzhenitsyn. They were reluctant to go up against a man so honored for high moral stature, and recognized by so many as a truthteller of the highest character.
Then, the historian and truthteller Solzhenitsyn made what was, to liberals and communists, a grave error. Asked at a press conference his opinion on why the terrible events behind the Iron Curtain had occurred, why millions were carted away, tortured, starved and worked to death in Gulag slave camps, Solzhenitsyn gave this simple, yet startling, response: "Man has forgotten God."

The brave Aleksandr Solzhenitsyn, the famous Russian writer who has been called the "Conscience of the 20th Century," served eight long years in the Soviet Gulag prison system. Today, he is hated by top-level Jews in America and around the world because he exposed the Jewish leadership of the genocide of 66 million Communist Gulag victims. Many victims were Christians.

"Outrageous," the Critics Roared

"What did you say? God? Outrageous!" the critics roared. Immediately, the world's press began a reversal of opinion about this man they once had lionized. Some called him a "Christian fanatic." Others said Solzhenitsyn was "reactionary...right wing...a religious nut."

Then, in 2000, Solzhenitsyn released a blockbuster new book he had penned entitled Together For Two Hundred Years. The new book was a lengthy treatise, a thorough and far-reaching compilation of several decades of research by Aleksandr Solzhenitsyn into the machinations for two centuries of Jews inside Russia and the Soviet Empire.
Karl Marx, the Jewish radical who inspired Lenin and Trotsky with his communist theories, was secretly a High Priest of Satan (see Richard Wurmbrand's book, Marx and Satan). Shown here in his official portrait, Marx is giving an enigmatic Masonic hand sign (see Richardson's Monitor of Freemasonry, p. 74).
Accurate in every detail, painstakingly documented, the author showed how, over the centuries, a small band of revolutionary Jews had conspired and plotted to overthrow the Russian Czars. Their aim: seize control of Czarist Russia and establish a beachhead for a Jewish utopia on planet earth—the long sought after Kingdom of the Jews.

The Gulags of the Jewish Revolutionaries

With staggering implications, Together For Two Hundred Years showed how Lenin, Trotsky and other Jewish conspirators had overthrown the Romanov dynasty in 1917 and set up their own Bolshevik totalitarian system. The result: The nightly assassination and roundup of thousands of innocent men, women, and children, most of whom were herded by black-hearted Big Brother secret police into thousands of monstrously evil Gulag concentration camps.
The largest number of victims, Solzhenitsyn reports, were Christian believers, understandable since the revolutionary Jews despised and hated Jesus and His Chosen People, the Christians. All-in-all, about 66 million innocent people were kidnapped and eventually died a hideous death at the hands of the Jewish "Ivan the Terrible" corps.
Four Gulag camp commandants. Note that all four are giving the secret sign of Jewish Freemasonry, just as did Communism's founding father, the Jewish Mason, Karl Marx.
66 million murdered by mostly Jewish Gulag overlords! That's over ten times the number of Jews claimed to have been slain in Nazi concentration camps.
Obviously, such a powerful—and truthful—book as Together For Two Hundred Years must be suppressed. And it has been. No English-speaking publisher, either in Britain or in the U.S.A. has dared to publish it. So far, Solzhenitsyn's book has only been issued in the Russian language.

"Crush This Insolent Wretch"

Shamelessly, yet quietly and without a lot of fanfare, Jewish organizations have put out the word: "Crush this insolent wretch, Aleksandr Solzhenitsyn. Give his works, his voice no forum, kill him with neglect. If you must mention his name, say it with scorn and with taunts and ridicule. Punish him severely for attempting to reveal our secrets to the world. Let him be an example of what the Jewish Power can do to a man who stubbornly refuses to tow the Zionist party line."

I have seen what they have done to Solzhenitsyn. I have read their biased and spiteful reviews of his book in the controlled media and witnessed their revengeful hatred of him in countless Jewish magazines, websites, and journals influential but relatively unknown to the public at large. The ruthless Jewish Power clique works to kill men in a variety of ways. With Mel Gibson, it was more public. With Solzhenitsyn, it is more personal and private. Clearly, Solzhenitsyn's writings about the Jewish leadership of the Soviet Holocaust is viewed as a grave threat to the Jewish Plan for global supremacy.

In Russia, millions of people—many of them survivors of the Gulag—still love and respect the aging man of God, Aleksandr Solzhenitsyn. They have read his newest book, and they know it is true. They lived it! They also well understand why such a book is being kept from the American people. The Talmudic Jews are fiercely determined that the whole truth about their repugnant, geno-cidal crimes be covered up.

Solzhenitsyn's reputation must be progressively tarnished and his writings buried forever.

So now, the man, Solzhenitsyn, who suffered under the Jewish Gulag tormentors for so long, must now be tortured once again, and for the same purported "crime," the offense of using "words."

It was Lenin who once said, "Words are more deadly than bullets." Leninist ideology is truly an exemplar of the poisonous Talmudic Jewish mindset. Today, in America, there are, consequently, many things a man cannot say, cannot write about, and cannot publish. I know. I have, myself, faithfully followed God's calling and done my best to follow in Solzhenitsyn's footsteps. The Jewish holocaust revisionists have punished me, too, and they continue today to threaten and bully whip me and Power of Prophecy ministries.

Like Mel Gibson and Aleksandr Solzhenitsyn, Texe Marrs is now being falsely and cruelly branded an "anti-Semite," a "Jew-hater" and worse, on all seven continents.

Fascinating, isn't it, how much fury, venom, and wrath just a touch of truth can whip up among the Jewish overlords and their Gentile accomplices, who today guide Western culture and minutely monitor and control every aspect of media reporting on politics, economics, and religion.

This official postcard, widely circulated by the Communist government in Russia following the Jewish Bolshevik takeover, is entitled "Leaders of the Proletarian Revolution." The postcard reveals the Jewishness of these original leaders of the Communist Party. All six shown, including Lenin and Trotsky, are Jews!

The Fearless Few Are Hated

Their greatest hatred, their most vicious spewing of venom, is reserved for the fearless few who dare to reveal to the world the heinous crimes committed by the Jewish Power in the Communist Gulag, especially the Zionist murder of 66 million men, women, and children, many of them Bible-believing Christians.
Equally hated are men like Ernst Zundel of Canada, who have questioned whether six million Jews actually died in a Nazi Holocaust. But even if six million died in a Nazi Holocaust, what of the sixty-six million who perished in the Jewish Gulag? And remember: Thousands of Nazis have been tracked down and punished for their reported crimes against humanity. Why is it that not even one Zionist Jew has ever been brought to justice for the heinous crimes committed in the Jewish Communist Gulag? Why?
For almost six decades, America and the planet have been preaching to the Germans, reminding them of the terrible crimes of their Nazi ancestors. It is only fair and just that we all now turn our attention to the Communist Gulag Holocaust, that we expose the Jews' role in its monstrous crimes and remind the Jews of what their criminal ancestors did to these sixty-six million innocent victims, most of whom were Christians.
Isn't it also time we demand construction of a Christian Holocaust Museum in Washington, D.C., to be erected next door to the existing taxpayer-funded Jewish Holocaust Museum? Is only the suffering of Jews worthy of being memorialized? What about the pain and suffering endured by so many other ethnic and religious groups, including that of Russian and Eastern European Christians during the Jewish Bolshevik era? Don't these tens of millions of Gentiles killed and tortured deserve to be remembered as well?

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